risque de Ao, risque de.
Comme c'est la première fois que ce genre d'étude est faite, les détracteurs vont demander d'autres, pointer les manques du protocole, même s'ils sont mineurs, arguer que c'est pas suffisant, demander des contre-expertises...les couillonneries de la recherche financée par les gentils semanciers et producteurs de phytosanitaires/OGM quoi.
Et l'argument choc bien sûr, qu'on verra sûrement : "oui c'est dans le sang, mais est-ce dangereux pour autant ?"
Ce qui me surprends le plus, et que je trouve louche, c'est l'absence de traces d'AMPA, le dérivé primaire du glyphosate, qui est extrêmement résilient.