Auteur Sujet: Quartiers de l'équipage  (Lu 6537 fois)

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Jason

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Quartiers de l'équipage
« le: 18 septembre 2012 à 17:17 »
C'est ici que vous pouvez faire une petite présentation de vos personnages. Histoire de donner une bonne impression (un peu).
Décrivez les tels qu'ils sont ainsi que leur background.
Les éventuels membres PNJ apparaitront aussi.

Kraelur

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Quartiers de l'équipage
« Réponse #1 le: 03 octobre 2012 à 19:01 »
voilà  celui de Koldan =)

C'est un pilote émérite, toujours motivé pour aller au coeur de la bataille, slalomer entre les tirs de laser et narguer ses ennemis =)

Né au sein de l’empire galactique d’un père érudit et d’une mère ingénieure, Koldan Raktar fut, dès l’enfance, poussé à  rechercher l’excellence.
De fait, dès l’âge de 13 ans, il intégra la grande école de Khargall, où il étudia, 7 ans durant, les techniques de pilotage de vaisseau spatial. Il apprit à  maîtriser toutes les subtilités du voyage spatial, mais aussi du combat dans l’espace. A sa sortie de l’école, il fut nommé major de sa promotion, gagnant ainsi un bon grade au sein de l’armée, grade grâce auquel aurait pu, dès lors, piloter l’un des vaisseaux les plus importants (d’un point de vue stratégique) de la flotte. Cependant, il demanda à  aller au front, motivé par sa soif d’aventures et ne voulant pas s’ennuyer sur un vaisseau important, peut-être, mais bon, rien ne vaut un vaisseau de petite ou moyenne taille pour s’amuser, virevoltant entre les tirs ennemis dans la fureur du combat.
Ces donc dans ces conditions qu’il se vit confier le pilotage du Plutonnite, vaisseau de combat comprenant un équipage d’une vingtaine d’hommes en plus du capitaine.
Il servit à  son bord durant 3 ans, participant aux attaques de Barrens, « libérant » ces planètes de ces saletés de pillards.
Cependant, il y a quelques semaines, un imbécile de mécano fainéant ne prit pas la peine de réparer plusieurs pièces de blindage proche des moteurs. Cela causa, hélas, la perte du vaisseau : Lors d’un affrontement particulièrement violent, le Pluto fut touché, ce qui causa de graves avaries au vaisseau. A son grand désespoir, Koldan dut quitter le vaisseau à  bord d’une navette de sauvetage en compagnie de membres de l’équipage. Sa seule consolation fut de voir le vaisseau ennemi exploser et se disperser dans l’espace.
Ils furent alors recueillis par un autre vaisseau de la flotte. Hélas, c’est lui qui fut accusé de la mort des membres de l’équipage ayant perdu la vie lors de l’attaque, entre autre à  cause du capitaine, qui ne le supportait plus à  cause de sa recherche des risques à  tous pris lors des combats. Il eut beau se défendre et avoir le soutien de membres l’équipage, le capitaine a toujours raison… Ce qui lui valut d’être traité de traître et de couard. Sachant qu’il serait condamné à  mort à  son arrivée sur Khargall, sa famille parvint, moyennant finances (un max), à  lui sauver la vie... En le faisant transférer vers une prison privée de l'OCB. Cependant, cela ne plut pas à  son ancien capitaine, qui commença à  tout mettre en oeuvre pour lui faire la peau.
C'est durant ce transfert que Koldan fit connaissance de ceux qui allaient faire partie de l'équipage.
« Modifié: 08 mars 2013 à 00:13 par zrechim »

Sylvestre

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Quartiers de l'équipage
« Réponse #2 le: 10 octobre 2012 à 19:30 »
Lors de vos longues semaines en captivité au sein du vaisseau de l’OCG, vous avez pu en apprendre sur vos compagnons d’infortunes. Parmi eux, John, un jeune homme d’une vingtaine d’années à  l’esprit vif. Il présente un air sympathique et son visage est de belle allure. Mais sa faible corpulence le prive de statue, et son dos semble déjà  courbé par le travail trop rude.

Vous n’en savez pas énormément sur son passé, mais en entendant quelques unes de ses brèves conversations avec Kazet, il vous a semblé comprendre que les deux hommes se sont enfuis d’une situation difficile. John a très certainement une vie d’esclave derrière lui, car il faisait régulièrement allusion à  un passé de travail - sur de grandes machineries - et d’obéissance, mais vous ne savez ni d’où il vient, ni qui étaient ses maîtres. Ceux du groupe qui ont osé lui demander des détails n’ont pas reçu de réponse claire, John semblant gêner de répondre.

John promet pour la suite d’être un bon compagnon de route, grâce à  l’altruisme dont il a déjà  fait preuve plusieurs fois au sein de votre prison spatiale, et ce malgré sa faible condition physique.

Kohan

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Quartiers de l'équipage
« Réponse #3 le: 07 mars 2013 à 23:26 »
Salut, c'est Tristan. Voilà  le background de mon perso, Shan, et aussi une petite explication sur son caractère (j'avais rédigé l'histoire à  la première personne par pure envie) :

Background de Shan Kashkan :

Je m'appelle Shan, j'ai 16 ans. Depuis tout petit, mon rêve a toujours été de voyager à  travers la galaxie pour découvrir ses mystères. Je suis plutôt curieux il faut dire, ce qui m'attire souvent des ennuis.

J'ai toujours vécu sur Coralia, avec mon père. Ma mère est morte quand j'avais 6 ans, et depuis ce jour, mon père a changé : la personne joviale et pleine d'optimisme qu'il était est devenu borné à  son travail et à  ses aspirations. Comme j'étais la dernière personne de sa famille qui restait, il a décidé de faire de moi un grand chercheur en sciences. J'avais interdiction de sortir de chez moi à  part pour aller à  l'école, et si je commençais à  me plaindre de cette vie, mon père me faisait l'éternelle leçon de morale « C'est pour ton bien. »

Pendant longtemps, en plus d'étudier mes leçons de science, j'ai passé mon temps libre à  lire des livres sur les Pirates, et les voyages dans l'espace. Leur vie n'avait pas l'air facile, mais tellement excitante : voyager dans l'espace, découvrir de nouveaux lieux, sans être commandé par une autorité quelconque, le rêve.

Ma deuxième façon pour faire passer le temps libre était de fuguer. J'aimais voir ce qui se passait dehors, la vie des autres personnes, le bruit de la rue, l'activité qui y régnait, fort différente du confort aseptisé de notre maison. Mais j'ai toujours fini par être rattrapé par mon père, ou plutôt par ses gardes du corps. Si seulement ma mère n'avait pas été morte...

Ce petit train de vie suivait son cours, jusqu'au jour où mon père a décidé de passer à  la vitesse supérieure : c'était le jour de mon anniversaire à  16 ans. Il avait décidé de faire en sorte que j'aie mes diplômes avec brio, et pour cela il n'y avait qu'une seule solution : m'assigner un garde du corps. Un petit chien à  mes bottes qui vérifierait que je ne fais rien de mal. J'allais devoir passer mon temps à  étudier les sciences, et je ne pouvais rien y faire.

Alors j'ai fui. Une nuit, j'ai préparé mes affaires, c'est à  dire quelques livres, ai volé des crédits du porte-monnaie de mon père, et suis monté clandestinement dans une navette, en prenant soin de m'acheter un hamac, des vêtements simples, un module mémoire, et de la nourriture. Pendant plusieurs mois, j'ai passé mon temps à  voyager ainsi de planète en planète, sans me faire remarquer de personne. Après tout, qui allait se préoccuper d'un gamin banal comme moi ? J'ai manqué à  plusieurs reprises de me faire attraper par des marchands d'esclaves, mais l'expérience de mon père m'a vite appris à  fuir des situations les plus... Inconfortables. Il faut dire que je n'ai pas ma langue dans ma poche, et que je suis plutôt douer quand il s'agit de baratiner les autres personnes.

J'ai découvert ce qui n'existait pas sur ma planète : la répression, les esclaves, les pillards, la pauvreté, que des mots que j'avais vus dans mes livres jusqu'à  maintenant. L'horreur de la réalité m'a fait déchanter, et plusieurs fois j'ai douté sur le fait de revenir chez mon père ou non. Mais je ne voulais pas vivre comme sédentaire, alors que l'univers avait tant de choses à  offrir ! Il y avait tant de diversité dans les planètes que j'avais visitées, tant de dangers aussi.

J'ai fini par arriver sur la planète atypique Bazaar. Alors que je me réapprovisionnais, mon porte-monnaie s'amenuisant au fil des jours, j'ai entendu une bataille au dehors. J'ai été voir discrètement ce qui se passait, et c'est là  que j'ai vu des pirates, aucun doute là -dessus, tuer un chasseur de primes. J'avais entendu parler de ce dernier, il était assez célèbre. Ma surprise fut grande quand je l'ai vu se faire décapiter par ces pirates ! C'était peut-être l'équipage dont je rêvais depuis longtemps. Enfin ils avaient tout de même l'air... Rustres.

Je les ai donc pistés. Fort heureusement, le quotient intellectuel du groupe ne semblant pas se compter en 3 chiffres, ils ne m'ont pas repéré. Ils sont entrés dans une maison, et plus tard, en repartant vers leur vaisseau, j'ai trébuché sur une dalle mal fixée au sol. Celui qui semblait être le capitaine me décocha un "Tu veux nous rejoindre gamin ?" d'un ton moqueur. Il semblait me sous-estimer assez violemment, ce qui fut confirmé quand je lui ai révélé que je les pistais depuis une demi-heure.

Me voilà  donc dans cet équipage fort atypique. Ils ont l'air un peu brutaux, puisque ce sont des pirates, mais ils n'ont pas l'air d'être de mauvais bougres. De toutes façons, je n'ai pas trop le choix, et j'ai toujours rêvé de faire partir de l'équipage d'un bâteau pirate ! Par contre, pour les combats... Cela risque d'être difficile.

En tout cas, je sais que mon père fera tout pour me retrouver. Je compte plus pour lui que tous les crédits de l'univers, mais malheureusement pour lui, je ne compte pas me faire attraper si facilement. Il faudra que j'en parle à  l'équipage un jour des raisons pour lesquelles je me suis retrouvé là ...

Caractère de Shan :
Shan est un garçon entêté, qui n'a pas sa langue dans sa poche. Il a du mal avec les figures d'autorité, voyant en elle une forme répressive à  l'instar de son père. Il rêve de liberté, de voyage, et est très curieux, ce qui a tendance à  lui jouer de mauvais tours : dès que quelque chose l'intrigue, il se sent obligé d'aller voir de quoi il en retourne. Il n'est pas très courageux, et ne prendra jamais des risques inutiles si le jeu n'en vaut pas la chandelle. C'est un passionné de connaissances, qui adore raconter des anecdotes à  ceux qu'il rencontre. Son vocabulaire est assez élaboré, et généralement, le quidam moyen le regardera de façon ennuyée ou interloquée en l'écoutant.

En raison de ses origines cultivées, dans un milieu sans aucune violence, Shan est lui même pacifiste : tuer quelqu'un est quelque chose qu'il ne peut concevoir, même si il doit reconnaître que pour survivre, c'est nécessaire.
« Modifié: 09 mars 2013 à 01:00 par Kohan »

Jason

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Quartiers de l'équipage
« Réponse #4 le: 08 mars 2013 à 11:07 »
Historique intéressant mais il y a des trucs qui ne colle pas avec la ligue des planètes libres.
Le bouquins est disponible pour mes joueurs comme toi dans les placards du club.
Attention, a chaque fois que tu chope un bouquins (excepté le livre des joueurs) tu doit respecter une règle importante. Il y a trois couleur en bas de page, vert, orange et rouge.
- vert, TOUS les joueurs peuvent lire ces pages
- orange, seulement les joueurs ayant un personnage ayant pour origine la nation décrite dans le bouquin peuvent lire ces pages
- rouge, RESERVE AU MENEUR !

J'ajouterai une chose. Lorsque tu lira les pages sur les origines de ton personnage, tu prendra en compte ceci.
Shan ne connait pas le système "Pi"
Tu lira donc l'introduction sur ce système mais pas le positionnement des planètes ni leur description.
(mon commentaire vaut aussi pour les deux canonniers, je me suis rendu compte que "Pi" est super importante)

Bon voici pour les petits truc à  revoir.
La ligue des planètes libres est une p***** de démocratie qui n'a rien a voir avec ce que nous vivons aujourd'hui. L'auteur à  imaginé une nation utopique.
Il n'y a pas de classe social donc pas d'inégalités, pas de discrimination de mutant, pas d'école prestigieuse, et le pire, pas de circulation d'argent puisque pas besoin d'argent. Les biens sont distribué a la population en fonction des "points de service".
Le genre de truc qui énerve un chouilla les marchand de l'OCG. Il y a quand même des citoyen qui on de la monnaie galactique, c'est rare.

La mort tragique de la mère OK
L'isolement du père et la pression son le fils OK
Les rêves les fugues OK
L'embarquement clandestin jusqu'a Bazaar ... euh ... oui ... et non
Oui car c'est l'explication que tu à  trouvé et c'est bien et plausible
Non car de la ligue jusqu'a Bazaar il faut traversé la galaxie, cela implique des mois de voyages et d'arrêt à  des stations etc... Cela implique aussi que Shan à  soit traversé l'Empire Galactique (ennemis ultime de la Ligue, l'antithèse, la grosse dictature militaire) et a due peut être (en dehors des station de l'OCG) faire face à  des chtits problèmes, soit l'empire de Sol puis l'OCG ce qui est un chouilla long.

Xev

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Quartiers de l'équipage
« Réponse #5 le: 08 mars 2013 à 19:04 »
Sa me fais penser qu'il faut que je m'attaque a l'histoire de mon perso aussi.
Du coup je vais en profiter pour lire l'introduction du système Pi, je n'avais même pas ouvert la page pour éviter tout spoil.
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Kohan

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« Réponse #6 le: 09 mars 2013 à 01:01 »
Voilà  j'ai édité, j'ai rajouté aussi ce qui s'est passé au début du dernier scénario.

Et pour les bouquins, faut pas le répéter, mais je l'ai trouvé sur le net en pdf le manuel des joueurs.
« Modifié: 09 mars 2013 à 01:04 par Kohan »

Jason

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« Réponse #7 le: 09 mars 2013 à 15:08 »
si tu a le manuel du joueurs alors tant mieux. Ah, et vraiment désolé, j'ai du mal à  imaginé des gardes du corps dans la Ligue (je sais je suis chiant).

Il va falloir que je regarde un petit truc sur "Pi" mais il est possible que Jonko étant agent de la défense y ai fait sont service.
« Modifié: 09 mars 2013 à 15:21 par Jason »

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #8 le: 21 octobre 2013 à 13:41 »
Je vais essayer de poster l'histoire de mon perso avant que l'on arrive dans la Ligue, car j'aurais peut être la chance de croiser quelque uns de mes anciens camarades survivants (notamment le pnj que j'essaye de créer)
Ça fais un ans que je joue Joncko, serais ptetre temps que vous sachiez (et moi aussi) pourquoi il est devenue pirate.  ;D
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Sharp Chivers

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #9 le: 23 octobre 2013 à 00:06 »
Hop hop hop. J'ai fini par faire une vrai description et un petit historique de mon perso. Je vous met tout ça ici:

Description:
       Jikan est un mutant insectoïde de 2m20, ---kg, peau grise foncé et cheveux blanc. Ses membres sont incroyablement fin pour sa taille et semblent flotter en permanence dans ses vêtements. Toute sa peau semble recouverte d'une fine carapace sombre qui se prolonge légèrement au niveau de ses articulation. De petits poils court et rêche sont éparpillé le long de son épiderme. Ses doigt de main comme de pieds sont très longs et pointus et semblent dur au toucher. Un léger frottement est audible quand il fait lentement mouvoir ses phalanges. Sa cage thoracique est un peu plus bombé que celle d'un humain normal et lui donne un aspect très courbé en permanence accentué par le fait qu'il se tiens courbé naturellement. Sa colonne vertébrale fait ressortir de petites pointes dure de la base de son cou jusqu'au bas de son dos. Son dos est également la base de deux grandes ailes membranaires puissantes qui produit un bourdonnement impressionnant lorsqu'elles sont agité a grande vitesse.  Son ventre est particulièrement maigre et paraît d'autant plus filiforme coincé entre l'abdomen bombé et le bassin quasi squelettique de ce dernier. Son visage quant a lui, mis a part ses trait fins et tiré semble humain a première vu. Ses yeux d'un bleu très clair ressortent particulièrement sur sa peau grise et ses cheveux secs retombent aussi bien sur son visage que sur le haut de son dos en une multitude de mèches blanches sans reflets ni dégradés. Cependant, ses joues ressortent légèrement vis a vis de son crane a cause de la présence de deux grosses mandibules rétractile qui viennent se loger dans sa bouche. Sa mâchoire est dépourvue de molaire mais possède un mécanisme de chair qui lui permet de faire sortir une pince puissante devant sa paroi d'incisives. Seul de longue canines viennent compléter cette mâchoire qui lui permet de secréter une salive suffisamment acide pour dissoudre ses aliment sans avoir a les mâcher a l'intérieur de sa bouche. Les substance acide qui parcours ses fluides vital est également a l'origine de l'altération de la couleur de son sang qui sort noir de son corps.
   Il porte sur lui un très long manteau noir qui a pour but de cacher sa peau repoussante. Ses vêtements sont incroyablement ample pour sa morphologie et on peut facilement distinguer de nombreuse reprises et coutures qui leur permettent de tenir sur les os fin et recouvrent l'intégralité de sa peau. Du fait de ses pieds si particulier, toutes ses chaussures finissent soit troué soit totalement détruite. Il a donc cessé d'en mettre bien qu'il tente toujours parfois pour parasitaire civilisé devant certaines personnalités importantes. Mais elles finissent malgré tout en miette. Son visage est recouvert par une épaisse écharpe grise qu'il prend soin d'enrouler autour de sa bouche pour dissimuler les imperfections de son visage. Seul ses yeux et ses mèches de cheveux ressortent derrière son attirail de dissimulation. Le tout est appuyé par la présence d'un grand chapeau a bord large ondulé par son propre poids qu'il porte en permanence et souvent rabaissé sur ses yeux. Cette tenue a évidement pour but de dissimuler son origine et sa particularité aux yeux du monde mais est toujours trahi par sa taille démesuré et ses main et pied a l'apparence clairement insectoïde qu'il lui est impossible de dissimuler dans des gants ou chaussures.

Histoire:
   Jikan est un enfant sans parents qui viens des Barrens. Il a reçu de nombreux noms lors de sa vie mais celui qui a fini par rester est celui qu'il semblais le plus approuver : Jikan. Son apparence lui a valu la sympathie de quelques chef de clans sur sa planète natale et son instinct de survie lui a permis d'atteindre l'adolescence sans trop de difficulté. Il était capable d'éviter bon nombre d'affrontement grâce a ses talents naturel en intimidation. Les plus faibles d'esprit se contentait de s’éclipser. Il fini par obtenir le titre de pillard sans pour autant le réclamer. Entre ses manières bestiales et ses occasionnel excès de violence il fut rapidement repéré par les chef barbares des environs. Sa présence silencieuse mais imposante laissais toujours une marque dans l'escorte des guerriers les plus violents de la planète.
Mais un jour un vaisseau atterrie, chose plutôt rare dans ces environs, peu de vaisseaux avait été conçu ici et tout aussi peu de vaisseaux arrivaient a repartir. Le plus souvent désossés par les clans qui massacraient les équipages pour se faire des trophées et des pièces d'armures avec les matériaux. Mais cette fois ci l'équipage était bien préparé et visiblement escorté par un escadron militaire et ne fit qu'une bouchés de guerriers même les mieux préparé à ce genre d'attaques. Seul les spécimens de mutants les plus originaux furent épargnés. Un escadron scientifique était a la tête de l’expédition qui avait pour but d'étudier diverses mutations peu communes. Ou simplement le fonctionnement singulier de certains organismes.
    Jikan fût embarqué et opposa peu de résistance. Bien qu'il se soit par défaut accommodé a sa vie de pillard il appréciait assez peu les coutumes que celle-ci incombait. Ce vaisseau était une porte de sortie pour lui et son anatomie semblais provoquer une effervescence chez certains scientifiques. Il passa donc une bonne année de sa vie a voyager de vaisseaux en centres de recherches où on faisait toute une série de test sur lui. Il resta passif pendant un long moment, la vie dans les centre n'était pas insupportable et il était soigné et plutôt bien logé la plupart du temps. Mais ce que beaucoup de gens semblais mal comprendre c'est que derrière un vocabulaire très limité se cachais une intelligence insoupçonné. Ainsi il apprenais presque autant sur les autres humains qu'ils en apprenais sur lui. Cela lui permis d'apprendre quelques bases de civilités et lui fit réaliser d'autant plus l'écart qui le séparait des humains. Il avais quitté les Barrens pour une raison qui lui était flou jusque là mais le comportement des scientifiques éclaircissais sa pensé. Les discriminations de toutes sortes lui restaient en travers de la gorge. Il profita d'un moment d’inattention et de l'effet de surprise dut a son statut, s'étant montré toujours docile jusque là personne ne vit venir sa rébellion.
    Suite a ça il vagabonda beaucoup se faisant passager clandestin dans de nombreux cargo et sympathisant avec des sans abri ou réfugiés mutants. Ses ailes lui permettais de s'échapper de beaucoup de situations. Ses délits se limitant souvent a de léger vol ou voyage sans autorisation il ne fût fiché nul part. Toujours a la recherche de son utopie personnelle, une assemblé où les inégalité seraient atténués.
Il finit par attiré sur une planète où il entendit parler d'un équipage de pirate où la franche camaraderie serait a l'ordre du jour. Il fût intrigué et décida de voir ça de plus prêt. Son habilité a se servir d'armes lourdes qu'il maniais lorsqu'il était pillard lui permis de postuler en tant que canonnier sur un navire.


Voila (pas mal le pavé) donc je précise bien qu'aucun attribues physique ou vestimentaire n'influe sur ses compétences. Si y'a le moindre problème sur l'histoire faite le moi savoir. J'ai volontairement mis aucun nom de planète ou de galaxie parce que... Jikan ne savait pas précisément où il se trouvais et aurait pu être n'importe où.
« Modifié: 23 octobre 2013 à 00:22 par Sharp Chivers »
Agrogro chuis une tondeuse a gazon miam miam miam. Je vais te manger miam miam chuis une tondeuse a gazon.

Xev

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #10 le: 23 octobre 2013 à 01:07 »
Yeah ! Une description d'un gens !

Du coup je t'imagine mieux, quand tu précise les vêtements c'est plus facile de se dire a quoi tu pourrais ressembler en civil.
Pour ce qui est du recrutement, je pense que ça se serais passé sur la station relais OCG de Pi 28 (a vérifier, et je pense que c'est la même chose pour tout les autre membre qui nous on rejoint) avant que l'on parte en direction de l'empire solaire.
Et plus précisément, dans un bar, on procède souvent toujours comme ça (A moins qu'un jour on sois mener a faire un épisode flashback de recrutement  ;D )

Ps: je plussoie ta signature du forum
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Jason

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #11 le: 23 octobre 2013 à 13:32 »
Très bien ! Tout cela tiens debout c'est nikel.
Pour ton poids du doit faire environ 100 Kg, à 20 Kg près (ça dépend de ta vision des choses, ce n'est que mon humble avis).

John Doe

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #12 le: 23 octobre 2013 à 15:27 »
C'est à mon tour de présenter mon perso ! 8)

Hraj Ankiétas est né sur Pi, une planète de la ligue. Il a reçu une éducation très scientifique (normal vu que ses parents sont tous deux scientifiques). Aussi, pour lui, la science est tout ce qu'il y a de plus important dans la vie. il s'est donc naturellement tourné vers les métiers ayant un rapport avec la recherche et le développement. Il espère faire un jour une grande découverte qui lui permettra de faire entrer le nom "Ankiétas" dans l'histoire. Il s'est spécialisé dans le domaine de la technologie. Il trouve la médecine un peu trop instable à son goût, et va même parfois jusqu'à dire que les médecins ne sont pas de véritables scientifiques, simplement des "mécanos qui réparent les bobos".

Hraj n'hésite pas à essayer toutes sortes de technologies sur lui, tant que cela reste dans le cadre surveillé d'un laboratoire. Il se croit meilleur (et plus intelligent) que la plus part des scientifiques, ce qui lui pose parfois des problèmes. D'ailleurs, suite à un "désaccord" avec son directeur de laboratoire, il a été muté (contre son grès) dans l'équipe de scientifiques de terrain. Il trouvait son équipe incompétente (Pas forcement à tort), et s'est rapidement auto-proclamé chef de l'équipe. Il a donc commencé à faire des fouilles sur les planètes de la ligue. En effet, son laboratoire avait commencé à faire des recherches sur les technologies utilisées par leurs ancêtres, bien avant "l’effondrement". C'est ce qui l'a conduit sur une planète désertique. Là, des archéologues avaient découverts un ancien laboratoire de recherche abandonné.

Quand Hraj arriva sur place, il découvrit un petit complexe de recherche. Il donna la permission de remettre le courant, et pu commencer à étudier les objets abandonnés sur place. C'est là qu'il découvrit des petits objets métalliques, pendues à des ficelles, et qui émettaient de temps en temps des couleurs (Passant du bleu au vert, puis au rouge et enfin retour au bleu). Son équipe découvrit aussi un ordinateur, qui possédais une base de donnée recensant les objets du complexe. Les artefacts découverts plutôt étaient des "prototypes de boutons d'invisibilités". Lorsqu'il lut les données relatifs à ceux-ci, il découvrit que les objets métalliques n'avaient jamais fonctionné, mais qu'ils auraient dû théoriquement marcher. Plus loin dans le texte, il était fait mention d'un autre complexe de recherche (Sur de l'armement cette fois), basé sur un planète qui aujourd'hui appartient à l'empire de sol.

Quelques jours plus tard, son supérieur lui apprit que l'Empire de Sol et la Ligue avaient exceptionnellement conclus un traité, permettant à une seule équipe de recherche de venir sur la planète en question, d'étudier les technologies trouvées et de partager toutes les découvertes relatives à ce complexe (La Ligue c'était cependant retenu de préciser que dans le complexe était créées de nouvelles armes). Lorsque Hraj demanda qui ils allaient envoyer, son supérieur lui répondit avec un sourire mauvais "Notre meilleur élément, bien sur".

Il se prépara donc psychologiquement à partir vers une planète de l'empire de sol. Il savait que l'Empire de sol était dominés par les nobles. Aussi, ne connaissant pas le style vestimentaire de ces derniers, il décida de mettre son beau manteau marron et de se couper les cheveux. Il prit aussi les artefacts trouvés dans le complexe de la planète désertique, juste au cas où il ait un problème, et que ces derniers se mettent enfin à fonctionner.

Une fois arriver sur la planète en question, il alla directement sur le lieu des coordonnées trouvées dans l'ordinateur. Là, il trouva à l'aide de son équipe (un archéologues deux chercheurs et quatre membres du département de la défense de la Ligue) une entrée souterraine, cachée. Hraj entra le premier. Il découvrit un complexe similaire à celui de la planète désertique, mais en plus petit. Il remit le courant en marche, et, cette fois, alla directement sur l'ordinateur. Il dit à son équipe ainsi que l'escorte qui était là pour sa sécurité de prendre tous les objets et de les emmener au vaisseau, pendant que lui lisait les informations qu'il y avait sur l'ordinateur. Il leur précisa bien de ne surtout toucher à aucun bouton sans son accord, et de ne faire que transporter les artefacts.
Il resta là pendant environ une heure lorsqu'il se demanda où son équipe était passée. Il retourna à son vaisseau, mais, une fois arrivé sur les quais, découvrit avec horreur que celui-ci avait été détruit. Il entendit des passant affirmer que tous les étrangers étaient morts, ainsi que plusieurs membres de la douane. Apparemment, la douane de la planète aurait voulu essayer les artefacts découverts, sans savoir qu'en faite, c'était une bombe encore en état de fonctionner.

Hraj retourna rapidement dans le complexe, supprima toutes les données de l'ordinateur et retourna dans la ville, en essayant de se faire le plus discret possible. En effet, il avait peur que les événements récents ne lui créent des ennuis. Il était en pleine panique, il voyait des espions partout, et soupçonnait tous les passants de vouloir le poignarder dans le dos. Au bout d'un jour, la famine se fit sentir. Il alla donc dans une cantina, commander quelque chose à manger. Une fois se repas avalé, il commanda de l'alcool. Il n'avait pas l'habitude de boire, mais vu les circonstances, il pensa que c'était le meilleur moyen pour se calmer un peu, afin de réfléchir à une solution pour quitter la planète et retourner dans la Ligue. C'est à ce moment là que la porte s'ouvrit, et qu'il vit entrer un groupe de personnes, dont des mutants. Il cru même reconnaître une d'entre eux...
« Modifié: 24 octobre 2013 à 15:20 par John Doe »

Jason

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #13 le: 24 octobre 2013 à 12:15 »
Alors deux petites précision quand même.
La Ligue est une démocratie Utopique qui n'a rien à voir avec l'Oligarchie actuel que nous vivons.
Donc :
- La ligue pourvoit les besoin de ses citoyens sans passer par un système commercial et monétaire, pas d'inégalité, pas de coût de la vie, etc...
Tu ne peut donc pas parler de vêtements plus cher, il sont cher du point de vue des personnes extérieur à la Ligue obliger de faire du commerce mais pas du tiens.
- Le vêtements standard liguiens est une combinaison blanche (que tu n'a plus), elle représente le fait que tu sert directement la Ligue.

A part ça, tout le reste colle à la Ligue.

John Doe

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #14 le: 24 octobre 2013 à 12:35 »
Ok ! Merci pour les précisions !
Je modifierai mon poste dans la journée  :)

Xev

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #15 le: 25 octobre 2013 à 15:46 »
Citer
Jomir Xanco, alias « Joncko »
Age : 26 ans
Statut : Second du Fafnir, sous les ordres du capitaine Paloma.
Origine : Humain originaire de la Ligue des Planètes Libres. Ancien agent de la Défense.
Physique : 1m77, peau hâlée, cheveux mi long brun.
Signe distinctif : Cicatrice horizontale sur la joue gauche. Porte souvent un long manteau rouge typé pirate havanais. Porte une ancienne paire de lunettes (Typées goggles Steampunk)


             Paloma venais de finir de raconter nos aventures au public qu’elle avait réuni, Joncko était adossé à la rambarde de la terrasse et commença à parler à son interlocutrice :

            « Ça fais désormais plus de 6 mois que nous avons pris le chemin de la piraterie. Je pensais qu’après tout ce temps passé à vivre une vie de pirate j’aurais réussi à échapper à mes souvenirs.
Je m’étais présenté à mes nouveaux compagnons d’armes comme étant Joncko, un prisonnier de guerre. Ce n’était pas un mensonge, mais je n’ai jamais raconté les circonstances de mon emprisonnement, depuis que j’ai cette nouvelle vie, j’ai essayé de faire une croix sur ce qui m’était arrivé, mais aujourd’hui encore j’y pense … Est-ce à cause du fait que l’on se dirige vers la ligue ? Ou est-ce à cause du Rhum ? Les deux sûrement … »

            Il but son verre de rhum, laissa tomber sa tête en arrière et repris :

           « Une horde pillarde s'était installée sur Gigma, une planète Liguienne située sur la limite entre le Bouclier et les Barrens. Notre mission consistait à sécuriser la population civile, puis à repousser les pillards hors du système.
À peine quelques heures après le débarquement sur la surface de la planète, on nous signala qu'un détachement de l'Empire galactique de type « bombardement planétaire » était en approche de la planète. Leurs intentions étaient claires, si deux de leurs ennemis se battaient sur une planète, ils pouvaient faire une pierre deux coups. L'ordre d'évacuation des troupes Liguiennes sur la surface avait été instantanément donné, il fallait les empêcher de pouvoir faire feu. Le problème était que la plupart des forces de la Flotte Libre étaient trop engagées dans le combat contre les pillards pour pouvoir rejoindre à temps leurs navettes.
            C'était notre cas, nous nous étions bien trop avancés dans la jungle dense de Gigma pour pouvoir espérer fuir sur notre corvette. Si la Flotte Libre n'arrivait pas à arrêter l'Empire Galactique, notre seule chance de survie serait de trouver un autre vaisseau.
Quand les premiers missiles percèrent les nuages à l'horizon, les pillards comprirent eux aussi qu'il ne valait mieux pas rester sur la planète. Nous décidâmes de suivre un groupe pillard qui semblait se diriger vers un moyen de quitter la planète. Les premières détonations de missiles se firent ressentir à travers le sol et le vent, plusieurs tremblements de terre remuèrent la végétation, s'intensifiant avec le temps.
Nous arrivâmes rapidement à l'orée de la jungle, devant nous une plage de sable ocre s'étendait sur quelques centaines de mètres, les pillards que nous suivions allaient bientôt arriver au vaisseau qui flottait paisiblement sur le rivage.
            C'est alors qu'un missile s'écrasa derrière les falaises qui se situaient à plusieurs dizaines de kilomètres sur notre droite. Nous avions à peine eu le temps de nous jeter au sol dans le faible couvert que nous offrait l'orée de la forêt. Le paysage sembla se déchirer sous la puissance de la déflagration, l'équipage pillard disparut dans la tempête de sable soulevée par l'onde de choc. La vague de chaleur ainsi que l'appel d'air qui suivirent l’onde de choc grillèrent la végétation, et soulevèrent tout ce qui avait trop de prise au vent. Notre officier ainsi que trois camarades qui avaient eu la malchance de nous devancer de quelques mètres lors de la poursuite avec les pillards, et s'étaient retrouvés à découvert lors de l'onde choc.
Nous réussîmes à rejoindre le vaisseau pillard avant le début des retombées radioactives. Mettre en marche ce tas de métal ne fut pas chose aisée, car nous n'étions plus qu'une petite demi-douzaine, et je faisais partie de la poignée de personnes indemnes. Le moral était très bas, personne ne pleurais qui que ce soit. Il y avait eu trop de mort cette journée-ci, civils, pillards, Liguiens et même des soldats de l’Empire Galactique dans la bataille spatiale.
            Le signal de détresse que nous envoyâmes une fois sortie de l'orbite de la planète eut pour effet de signaler notre présence à l'Empire galactique. Une corvette Galactique nous aborda dans les minutes qui suivirent, quand la porte du sas s'ouvrit, nous étions 4 agents de la ligue épuisés, face à cinq soldats en scaphandre lourd de combat. Je ne pris même pas la peine de faire feu, contrairement à mes camarades, ce qui m’a valu d'être épargné. J'étais à bout, complètement épuisé. Alors que le plus proche des soldats Galactiques m'empoigna pour m'amener dans leurs sas, les 4 autres commencèrent à enjamber les cadavres encore fumants pour inspecter le reste du vaisseau.
Soudainement un grand fracas métallique retentit, et la liaison entre les deux sas se rompit violemment. Le soldat qui me tenait encore eut le réflexe d'attraper le rebord d'une des coursives pour ne pas se faire aspirer dans le vide spatiale. Les quatre autres soldats n'eurent pas cette chance et furent projetés en dehors du sas du vaisseau pillard.
Il se passa quelques interminables secondes avant que la porte du sas galactique ne se referme. Je ne pus qu’entrevoir le vaisseau pillard se faire tirer par un rayon tracteur, emportant avec lui le reste de mon escouade avant de perdre connaissance.
Je me réveillai dans un vaisseau de transit de prisonniers, un voisin de cellule aux allures de pilote galactique m'informa qu'on allait être transféré dans un vaisseau prison de l'OCG, le Papillon. »

            Le regarde lointain, un sourire au coin de la lèvre, il se secoua la tête comme pour chasser de vilaines pensées. Joncko se leva brusquement, épousseta son manteau et regarda la mutante avec qui il avait monologué:

« Je sais même pas pourquoi je te raconte ça Neya. Aller viens il parait qu’ils font un concours de bras de fer en dessous, je pense que ça pourrait t’intéresser ! »
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Isenlyn

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #16 le: 25 octobre 2013 à 19:25 »
Voilà un premier jet de l'historique de Carmin :

23 ans, 1m80, cheveux châtains en bataille, peau blanche (très)

Carmin est née dans l'Empire Galactique et à vécu dans une famille dirigée par son père. Celui ci travaillait dans l'armée mais n'avais pu se rendre sur le champ de bataille, alors quand Carmin manifesta une passion pour les vaisseaux et le pilotage c'est naturellement qu'il se retrouva sur les bancs de l'académie de pilotage de l'armée où il fit ses preuves.

De fil en aiguille il se retrouva au poste de Matelot pilote sur une frégate de la flotte  de pacification de l'espace interne du territoire. Son habileté lui permit d'être bien vu et d'assurer les permanences sans aucun problème, et en effet les problèmes ne vinrent pas de là.

Malgré son éducation militaire, l'influence de sa mère l'avais marqué. Il s'agissait en effet  d'une femme qui n'appréciait pas le fonctionnement de l'empire ni sa politique de conquête. Au cours des voyages spaciaux et des interventions sur différentes planètes, alors que l'équipage débarquait et ramenait des récit d'extermination de mutants et de massacres de pillards, lui restait au calme à bort et avait beaucoup de temps pour réfléchir. Il lui vint alors le sentiment  que l'Empire pourrai posséder une puissance autre que militaire, il se sentait  incapable d'exterminer ainsi des hommes pour le bien d'un système. c'était comme si son esprit refusait de le laisser accepter cela sans réagir. Ces pensée  n'aurait pas été dommageable s'il avait mieux tenue sa langue lors des discussions au  réfectoire. En effet lorsqu'il n'eut aucun quart à assurer pour le retours en permission et que son chef lui transmit l'ordre de se présenter au psychologue du régiment lors de son retours de permission avec comme consigne de "bien repenser à son statut", il su qu'il était fini.

Cette sensation fixa sa décision. L'Empire ne lui correspondait pas, « on ne peut faire le choix de tuer inutilement...du moins massivement....enfin surement....non ? Et pourquoi serai-je contre l'Empire en refusant cela ? » Il prit un cargo clandestinement pour rejoindre un relai de l'OCG et de là il envoya le message qui couperai tous les ponts avec sa famille et l'Empire. "Chère mère, je doit  quitter l'Empire, je ne reviendrai surement pas, Je ne veut pas vous impliquer dans  tout ca, dénoncez moi au commandement avant qu'il ne s'appercoive de mon départ. Adieux"

Il put ainsi choisir sa vie, enfin la seule solution qui s'offrait. Désormais déserteur de  l'Empire Galactique, ennemi de celui de Sol et ne voulant pas tuer inutilement... Seule la  piraterie pouvait le sauver. Là seulement il serait libre d'agir comme il le souhaite. La seule question qu'il ne pouvait résoudre était celle des mutants, il les détestait mais pouvait il les tuer pour ca ? "En attendant d'être fixé,  ignorons les, enfin tant qu'ils sont pas agressif, hein.".

Son périple le mena alors sur une petite planète de l'Empire de Sol où un Capitaine  inspirant la crainte et le respect recrutait quelques membres. Il devint officiellement  un pirate et sa prochaine destination le menait droit dans un bal de l'aristocratie de Sol. Ca commencait mal....


Carmin possède des vêtements ressemblant à sa combinaison de vol, très peu ample, les bras nues, gants en cuir. Le tout d'un bleu-noir agrémenté de touches de rouges (Un reste de l'Empire ?) avec quelques symboles pirates et dés que possible un grand manteau aux manches coupées. Avec en permanence un pistolet plasma à la cuisse droite et un pistolet laser sous l'aisselle gauche.

Un peu dans ce genre là mais en homme quoi.
http://maxa-art.deviantart.com/art/Jeyna-290789261
« Modifié: 22 février 2015 à 11:26 par Isenlyn »
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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #17 le: 26 octobre 2013 à 00:55 »
Je m'attendais pas a ce genre de motivation, j'aime bien le fait que ton perso en a eu progressivement marre et c'est rendu compte de se dans quoi il était mêlé.
Et c'est cool pour l'image, j'imagine mieux le perso :D
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Jason

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #18 le: 27 octobre 2013 à 14:01 »
Deux excellentes histoires.
Xev tu pensera à décrire un pilote liguiens (qui était avec toi). Tu ne sais pas ce qu'il est devenue.
Et une description rapide du Système Gigma.


Isenlyn j'ai rien à redire.

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #19 le: 28 octobre 2013 à 00:54 »
Pour ce qui est des personnages de l’équipage j'avais déjà quelques idées le pnj que je pensais faire.
Sinon tu veut juste une description physique/moral, ou tu veut aussi un début de création de perso ?  ;D
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Jason

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #20 le: 28 octobre 2013 à 11:12 »
Description physique morale de tes compagnons d'infortune suffira.
Je reviens sur ce que j'ai dis, fais ce que tu veux, pas de barrière.
Ah et si tu décrit ceux dont tu est certains qu'ils sont morts, précise le.

Caro

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #21 le: 22 novembre 2013 à 11:37 »
Voici le passé d'Illunir, ou du moins ce dont elle se souvient ; Bonne lecture!


    En ce moment j’ai la tête coincée entre une peau de mouton et mon oreiller, sur mon hamac dans les quartiers de l’équipage du Fafnir. J’ai arrêté de chanter il y a … pas longtemps … je crois. D’ailleurs j’ai cru entendre un soupir de soulagement, mais je n’en suis pas sure. Ce dont je suis sure, c’est que je commence à m’endormir avec une bouteille de rhum à moitié vide en guise de doudou. Je suis dans cet entre-sommeil, où l’on n’est ni tout à fait réveillé ni tout à fait endormi, cet instant propice aux dérives de la conscience, où l’on est comme libéré de son corps, juste un esprit flottant sans attaches. Ça me rappelle mon Réveil.  C’est mon premier souvenir, et l’un des plus précis. Ensuite certains passages sont nébuleux, mais celui-ci j’ai l’impression de pouvoir le revivre en fermant les yeux. Et ça tombe bien, j’ai les yeux fermés !


Je dois avoir un sens de l’humour assez particulier, puisque je me suis éveillée sans aucun souvenir dans une bibliothèque, temple de la connaissance. En fait, je me suis réveillée sur une table d’étude, un livre ouvert en guise d’oreiller. N’ayant aucun souvenir du titre, je me redressais, et le refermais pour en lire la couverture : « Mythes, Légendes et Réalités Pirates » ; je n’ai pas retenu le nom de l'auteur. C’est à ce moment que mes yeux sont tombés sur mes mains, enfin sur les mains qui tenaient le livre. La sensation fut très étrange, la raison voulait que ce soit mes mains puisqu’elles tenaient le livre pour moi. Cependant, je n’avais aucune certitude que ces mains m’appartenaient. C’est donc logiquement que je me posais la question de qui-suis-je-? ; je me rendis alors compte que je n’en avais aucune idée. Je crois que, pendant un très court instant une partie de mon cerveau  -la scientifique surement- à essayé d’analyser ça logiquement, mais n’y arrivant pas, j’ai fait ce que tout autre aurait fait depuis longtemps, j’ai paniqué. Le reste est un peu brumeux, je crois que je me suis levée, que j’ai crié, et peut être essayé d’avancer avant de perdre connaissance.

La suite est encore floue, je me souviens d’une chambre d’hôpital, de médecins et d’infirmières, enfin je suppose. D’après ce qu’on m’a dit, je me suis réveillé deux jours après ma crise à la bibliothèque. Ce réveil fut tout aussi étrange que le premier, mais aussi très différent. Cette fois, j’avais conscience de savoir que je ne savais pas qui j’étais ; je crois que mon intellect c’était habitué à cette étrange idée pendant ces deux jours. Ainsi je m’éveillais, et une fois de plus, attachais dans un premier temps plus d’importance à mon environnement qu’à moi-même. J’étais dans une chambre claire, sobre et impersonnelle comme le sont toutes les chambres d’hôpital. Une douce lumière filtrait à travers les rideaux et j’en déduisis qu’on était le matin. Je reportais alors mon regard sur le lit, et sur la forme sous les draps, qui était selon toute vraisemblance mon corps. Je commençais par examiner mes mains, et les levaient à hauteur de mes yeux. La première chose qui me frappait fut mes mains et mes bras étaient bleus. En regardant de plus près, je découvris que ma peau était recouverte d’écailles. Très fines, et quasiment invisibles sur les paumes, elles s’épaississaient et grossissaient sur le dos de la main et atteignaient la taille d’un demi-ongle sur les bras. De formes octogonales allongées, elles se chevauchaient peu, conférant une certaine étanchéité au derme tout en restant lisses au toucher. Ainsi j’étais une mutante. À cet instant, je voulu me redresser pour poursuivre la (re)découverte de mon corps. Mais alors que je pouvais librement bouger mes jambes et mes pieds, la sensation d’être entravée perdurait. J’entrepris alors de soulever les draps, et dévoilais une queue en plus de mes jambes. Cette dernière était attachée par des sangles aux bords du lit, et je ne pouvais qu’en mouvoir légèrement l’extrémité, ornée de pointes impressionnantes.

Cet à ce moment, qu’une infirmière entra. Ce fut elle qui me révéla mon nom : Illunir Niranjana. Après s’être renseignée sur mon état général, elle me détacha tout en expliquant la raison de mon immobilisation. À mon arrivée, j’avais blessé le médecin qui m’examinait par, selon elle, un réflexe défensif inconscient. Étonnamment, je ne lui parlai pas de ma perte de mémoire lorsqu’elle me questionna sur mon malaise qui détermina mon entrée à l’hôpital. L’infirmière repartit peu après, en me signifiant que je pourrai sortir dès l’après-midi si mon état restait stable.

Je poursuivi alors mon inspection de moi-même. Je ressemblais à un grand lézard de forme humanoïde, la couleur de mes écailles allait du bleu roi au saphir profond. Ma tête allongée était ornée d’écailles larges et plates ainsi que de plus petites, sombres, sur le contour des yeux qui dessinaient un motif étrange remontant sur mon crâne. Mes yeux, aux iris dorés avaient des pupilles humaines. Ma dentition aussi semblait humaine, bien que je sois pourvue de multiples canines effilées sur chaque mâchoire. Mon cou était cependant plus long, et mesurait 10 bons cm de plus que celui d’un humain. Ma queue, qui partait du bas des reins devait atteindre un petit mètre. Mes jambes, recouvertes d’écailles plus épaisses ressemblaient à celles des antiques animaux que l’on peut voir dans certains musées de Coralia. J’avançais comme sur la pointe des pieds. Je ne devais vraisemblablement pas porter de chaussures tant mes écailles étaient épaisses et mes griffes imposantes.
[Pour faire plus court, vous prenez un argonien, vous le peignez en bleu et vous rallongez son cou d’une 10n de cm.] [Lors de ma mutation, je perds les pointes sur ma queue, ainsi que mes griffes, qui sont remplacées par des orteils quasiment humain. Je gagne en contrepartie deux cornes partant du sommet de mon front et se courbant vers l’arrière. Elles sont creuses, comportent des motifs, et améliorent ma perception de l’environnement et des choses.]

Je pus sortir au début de l’après-midi. On m’avait rendu mes affaires, et j’avais revêtu une combinaison blanche, signe que j’étais affiliée à l’un des départements de la Ligue. Une fois dehors, je me rendis compte que si je pouvais me repérer dans la ville, je n’avais aucun souvenir de mon adresse personnelle. Il me vint l’idée d’aller chercher d’éventuelles réponses à l’endroit de mon Réveil, à savoir la bibliothèque. En marchant, j’eu l’idée de demander le livre que je semblai consulter avant mon amnésie. Je décidais de l’emprunter ; et comme je le pensais, le reçu que l’on me donna comportait mon nom et une adresse. Mue par une intuition, je commençais à feuilleter l’ouvrage, et découvris quelques feuillets manuscrits dont l’écriture me paru familière. J’entrepris leur lecture.


    «  Chère moi,

    J’espère que tu n’es, enfin, que nous ne sommes pas trop perturbées par la perte des souvenirs de ces derniers mois.  Effectivement, c’est moi, enfin nous qui en sommes à l’origine. Si il s’est bien écoulé deux semaines entre le début de notre amnésie et la découverte de cette lettre quand le livre t’a été livré, alors nous auront réussi une partie de notre mission.

    Comme tu le sais, nous faisons partie du département R&D ; il y plusieurs mois notre équipe, épaulée par l’Astrodivision, à fait une avancée spectaculaire sur les hypothèses et les origines de la Genèse. Nous avions trouvé des anciennes coordonnées, datant d’avant l’âge des conquêtes. Cette avancée, risquant de bouleverser la Galaxie, nous avons été mis au secret par le Sénat. C’est ainsi que nous avons atterri sur cette planète et continué nos recherches dans la plus grande confidentialité. Nous n’étions qu’en contact avec les dirigeants de la Ligue que par l’intermédiaire d’une seule unité de l’Astrodivison.
    Après de durs mois de labeur, nous sommes enfin arrivé à progresser! C’est, je n’arrive plus à me souvenir de son nom, qui a établi une conversion entre ces vieilles coordonnées et des coordonnées actuelles.
    Je ne sais plus ce qui arriva ensuite.

    Je suis certaine que nous n’avons pas encore transmit au Sénat et à la Présidente ces coordonnées et ce qu’elles impliquaient.
    Puis, nous avons été attaqués par quelqu’un qui savait, ce sur quoi nous travaillions. Un espion surement ; je crois qu’il venait de Sol.
[Ici la vitesse d’écriture semble s’accélérer, les mots sont presque illisibles à certains endroits]
    Je me souviens que nous avons codé puis séparé les coordonnées. Chaque membre en avait une partie. Nous avons ensuite détruit toute autre trace de l’inform……. Je crois que nous nous sommes donnés rendez-vous sur une planète dans un autre système. J’ai du mal à me souvenir de ses coordo……….. Je crois que j’ai fait une erreur de dosage dans les composants du sérum amnésiant. Je commence déjà à en ressentir les effets alors qu’il ne …….. … … …….. avant …... La plupart de l’équipe a fuit par les Bare… avec l’équipe d’Astrodivision. Les autres, comme moi, nous avons fait diversion. J’essaye de me rappeler les coordonnées cryptées, mais je ne suis plus sure, je crois bien que c’est 9647. Je crois que nous avions rendez-vous dans …………….. Je ne sais plus les coordonnées du rendez-vous.
[L’ensemble devient illisible, on ne peut que déchiffrer que quelques mots.]
    ……. onnées   …. …………… …… … 23 ……  …. .lé … …yptag…  …. ….  ..ivre …  les …. rates.
    .... …ime …… … romperie.  ………. Trop forts ….ages, ……… de mé………. …….. importante ….. prév...
[Le reste se perd dans des taches d’encre] »



Étant sous le choc de cette lecture, je rentrais difficilement chez moi. Depuis cette fois, j’ai tellement lu cette lettre que je pourrai la réécrire, au mot et à la tache près.
J’arrivais dans un appartement standard et absolument banal. Je ne voyais aucun objet qui aurait pu laisser à penser que c’était ma maison plutôt qu’un appartement d’exposition. J’essayais de me calmer, et fini par recommencer à penser normalement. Si cette lettre, ma lettre, disait vrai j’étais encore menacée. Apparemment j’avais perdu trop vite et plus que prévu la mémoire.

Alors que cela faisait surement plusieurs heures que je méditais sur mon problème d’identité, quelqu’un frappa à ma porte. En ouvrant, je me retrouvais face à un serf, me conviant à une collation privée avec le noble de la cité, Oscar Padovano.  Je réalisais alors que je ne me trouvais pas sur une planète de la Ligue mais sur une planète de l’Empire de Sol ! L’invitation ressemblant plus à un ordre masqué, je me préparais et allait à la demeure de Padovano.
Après quelques temps, je fus reçue par le maître des lieux en personne. Qui après avoir pris de mes nouvelles au sujet de mon passage à l’hôpital, pris des nouvelles de mes travaux et de mon équipe. Dire que j’étais mal à l’aise serait un euphémisme. Certaines insinuations laissaient à penser qu’il en savait plus qu’il n’y paraissait. Me voyant perturbée, il me congédia, tout en m’invitant pour le lendemain, pour que je lui fasse part de l’avancée des recherches une fois plus reposée.

En regagnant mon appartement, je me remémorais ma lettre et décidais de taire le plus d’informations possibles aux personnes de Sol, et de rejoindre mon équipe au plus vite, où qu’ils puissent être. Et pour cela je devais quitter la planète et le système au plus vite. Le lendemain, je trainais dans l’astroport dans l’espoir de trouver une solution. N’en trouvant aucune je me rendis la mort dans l’âme au rendez-vous avec le noble. Cette fois, je ne pus lui cacher mon amnésie, mais je prétendis n’avoir aucune idée d’où se trouvait mon équipe. Un air satisfait sur le visage Padovano me congédia à nouveau tout en me demandant de revenir dans une semaine, ou plutôt si la mémoire de mes recherches me revenait. Par la suite, je passais presque une semaine entière sur les quais de l’astroport, cherchant une solution, tout en feuilletant mon livre de pirates. Je me sentais de moins en moins à ma place dans cette ville et cela rendait mon départ encore plus urgent.

La veille de ma rencontre avec Padovano, je fus abordée par ce qui me semblait être un roturier. Il ne prit pas la peine de se présenter, me glissa un papier dans la main tout en me disant de faire attention à ce qu’on ne me suive pas, et disparu dans la foule. La note me donnait rendez-vous dans un bar de la Basse-Ville le soir même. S’est incertaine que je décidais de m’y rendre. L’endroit semblait assez bien tenu, et dès mon entrée je fus conduite dans un salon privé. J’y retrouvais le roturier du matin, attablé devant un copieux repas, qu’il m’invita à partager. Il se présenta sous le nom d’Eugenio. Très vite il aborda un sujet, que je pensais avoir réussi à garder secret, ma fuite imminente. Il ne paraissait pas dérangé par mes origines, et pour des raisons inconnues semblait  décidé à m’aider. Il s’avérait qu’il quittait la planète et le système dans la nuit, et qu’il n’était pas contre le fait d’embarquer un passager supplémentaire sans contrepartie. Je l’estimait de bonne fois, et décidais de lui faire confiance. C’est ainsi que j’embarquais dans la nuit sur le Bellissime, avec pour seuls biens ma lettre et mon livre de pirates. C’était un vaisseau solaire, dont les ornementations laissaient présumer qu’il appartenait plutôt à un noble qu’à un roturier ; pourtant il s’avéra qu’il était bel et bien à Eugenio. En passant sur le pont, je notais que la plus part des hommes d’équipages étaient armés et qu’il en allait de même pour Eugenio. Il avait été convenu, qu’ils me déposeraient sur une planète-relais de l’OCG de la route galactique. J’avais choisi le relais de Mu-23 dans l’espoir que ces coordonnées soient celles indiquées dans ma lettre. Le voyage se passa sans gros problèmes, le vaisseau semblant avoir toutes les autorisations requises pour parcourir l’Empire de Sol. Malgré de nombreuses questions, je ne pus en savoir plus sur le passé ou les buts de mon sauveur.

Après un peu plus d’une semaine de voyage je posais enfin pied sur le relais. Eugenio reparti après m’avoir souhaité bonne chance. Je me mis alors directement à la recherche des mon équipe. J’y passais plus de deux semaines, pour au final me rendre compte que soit je n’étais pas sur la bonne planète soit, la date du rendez-vous était passé. De toutes façons je devais trouver un moyen de repartir de la planète et de poursuivre la recherche de mon équipe. Je ne songeais qu’à peine à contacter la Ligue car, si mon équipe avait bien fuit dans vers les Barens, même l’Astrodivision n’aurait pas la liberté et les autorisations nécessaires pour aller les chercher. Je devais les retrouver.

Alors que je cherchais une solution en marchant le long de l’astroport, j’entendis quelqu’un s’exclamer « C’est vraiment cool la vie de pirate ! Mais, on ne manque pas un peu de camarades ? » Par la suite, je su que c’était Shann, l’un des membres du Fafnir.
Seuls les pirates avaient la liberté de voyager partout où ils le voulaient, et après réflexion je concluais que la piraterie était l’un des moyens les plus rapides pour parcourir la galaxie. Avec de la chance je finirais bien par tomber sur une piste menant à mon équipe ou à mon passé. En plus, l’équipage qui débarquait avait l’air aussi honnête qu’un équipage de pirates peut l’être. C’est ainsi que je me présentais au capitaine, et fus recrutée à bord du Fafnir.
Que le Thé et l'Ananas soient avec vous !

le M rouge

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #22 le: 30 novembre 2013 à 11:00 »
    Je suis née sur Havana, je pense que personne ne doute de ce fait en me voyant. Mes parents n’étaient pas pirates, loin s’en faut, ils travaillaient à la ville dans une échoppe quelconque. Pourtant mon enfance fut bercée de ses histoires qui auraient émerveillées n’importe qui. Bien sûr elles étaient enjolivées pour l’enfant que j’étais et j’eus tôt fait de m’en rendre compte par la suite, dès mes premiers périples, dès le premier pied posé sur un vaisseau en fait.

     J’ai, aussi loin que porte ma mémoire, toujours voulu partir d’Havana, oh pas forcément longtemps et avec la volonté d’y remettre les pieds souvent, mais je voulais être reconnue à ce que j’estimais ma vraie valeur ailleurs qu’ici. Je voulais être pirate, vivre les aventures qu’on m’avaient contées plus jeune et encore maintenant, voir d’avantage. Alors j’ai fait en sorte de mettre toutes les chances de mon côté pour y arriver.

     J’avais quatorze ans passés quand j’ai mis pour la première fois les pieds dans sur un basic pour partir à l’aventure comme matelot. Je dois admettre que ce ne sont pas mes capacités qui m’y ont aidées mais plus certainement mon assurance alors que je leur déblatérais nombre de mensonges et une certaine affinité avec le second… J’y ai tout appris sur le tas, que ce soit la navigation ou les senseurs. L’espace, ça avait quelque chose de grisant même si nous n’étions pas les pirates les plus doués et que ma participation dans les combats était bien minime. Mais cela m’a apporté mon sabre et une habitude à porter fièrement les couleurs de mes origines, jusqu’au bout de mon tricorne. Pourtant au bout de six mois loin d’Havana j’ai commencé à me dépérir, bon oui j’exagère mais l’idée était là, je perdais ma motivation et rêvais de retourner sur ma planète d’origine pour y vider une bouteille de Rhum les pieds plantés dans le sable. Depuis je m’arrange pour ne choisir que des campagnes de cinq mois tout au plus loin de ‘la maison’. J’étais fière en rentrant chez-moi et pourtant je n’y suis restée que le temps de recharger mes propres batteries avant de repartir pour de nouvelles aventures.

     Mes premières années de piraterie ne furent pas des plus riches, on n’était pas complètement branques pour autant, on manquait juste d’un peu de chance… Mais on s’amusait bien quand même, nos jours ne nous semblaient jamais vraiment comptés malgré quelques problèmes occasionnels dans les tunnel où des planète plus… sauvages dirons-nous. Nous espérions tous y trouver un des illustres trésors pirates qui avaient rythmés notre enfance, sans succès encore aujourd’hui.  Je ne vais pas tout vous raconter dans les moindres détails, ça serait bien trop long et inintéressant à bien des moments pour vous…

     Quand j’avais dix-sept ans environs, nous avons fait une halte plus longue sur Havana, nous avions nombres de réparations à faire et des soutes à remettre à plein. J’en ai profité pour aller voir mes parents, leur raconter mes propres histoires avec bien sûr une once plus glorieuse que la vérité. Enfin, j’eus aimé pouvoir le faire… Ils avaient vraisemblablement décidés d’aller visiter de la famille qui vivait à l’écart de la ville. Je décidais donc de les attendre à l’échoppe. Ils n’étaient pas de fervents admirateurs des pirates et puis j’avais du temps pour les attendre. Je dois avouer que j’ai mis un certain temps avant de me rendre compte que leur absence commençait à se faire trop longue et douteuse. Un mois au total et encore se fut suite à la demande d’un de leur client à qui ils avaient dit rentrer dans quinze jours au plus… Je ne suis pas une fille indigne à ne pas m’inquiéter voyons, mes parents ont leur vie et moi la mienne ; si je veux qu’ils ne s’en mêlent pas trop autant en faire de même. Et puis nous étions sur Havana, que pouvait-il leur arriver ? Mais le doute avait commencé à germer en moi, si bien qu’accompagnée d’un ami je partais à leur rencontre. La famille qu’ils visitaient vivait loin de la ville dans la jungle tranquille éloignée des bars et du débarquement pirate. En arrivant, il ne semblait y avoir personne, pas un bruit venant perturber la jungle. Sans plus de précautions je partais fouiller la cabane de font en comble pour les trouver. Il n’y avait trace de leur présence et ce depuis facilement une bonne semaine. Pourtant leurs affaires étaient là mais pas de nourriture sur le feu comme ma mère avait tendance à le faire, oui même chez les autres. Les affaires de chasse du propriétaire des lieux avaient disparu mais ça n’expliquait pas leur absence à tous. Nous avons fini par chercher aux alentours, si il leur était arrivé malheur nous ne devrions pas tarder à trouver quelque chose tout de même !

     Je mentirais en disait que j’avais à l’époque compris ce qui leur était arrivé… Nous avions trouvé des traces de luttes plus loin dans la jungle, mais ça s’arrêtait là. Avaient-ils eu des problèmes avec quelqu’un ? Mais qui ici ferait disparaître un corps, surtout quatre en fait ? Et ce sans laisser la moindre trace ? Avec le recul et depuis une certaine rencontre, je ne me fais plus vraiment d’illusion sur leur devenir. C’est pourquoi notre visite prochaine sur Bazard me laisse un faible espoir de retrouver leur trace, même si je me doute que les chances sont minimes aussi longtemps après… Enfin quoi qu’il arrive notre voyage ne sera pas une perte de temps, nous avons une planète de Neyas à retrouver et s’ils sont tous comme la demoiselle il y a des chances que la rencontre soit… mouvementée.

     J’ai passé le reste du temps où nous restions ici à Havana, à essayer de les rechercher, sans plus de succès que la première fois. Toutes mes questions restaient sans réponses. C’était comme si personne ne les avait vu ou avait entendu quelque chose à leur propos  depuis des jours. Si bien que quand le White Queen repris la route je les accompagnais sans plus attendre, espérant tomber sur une piste une prochaine fois et pour arrêter de tourner en rond, perdue dans des recherches infructueuses.

     Je passerais sous silence les mois qui suivirent, parce qu’à mon avis ils ne présentent pas le moindre intérêt à vos oreilles. Enfin ça ne change pas beaucoup de ce que vous pouvez voir dans le Fafnir durant les voyages. Et rien de bien plus excitant que de la piraterie dans l’OCG.

     Nous avons eu des problèmes par la suite lors d’un voyage vers un relais éloigné de la route galactique. Je ne saurais vous conter avec exactitude ce qui nous est arrivé, même dans ma mémoire, c’est assez décousu. Je crois que le choc est encore trop récent pour moi et je peux vous assurer qu’il a laissé des traces. Je crois qu’on traine tous un peu nos propres problèmes sur ce rafiot et si j’ai changé d’équipage ce n’est pas dû simplement à la prison où l’on s’est rencontrés pour certains d’entre nous.

     Oui, j’arrête de tergiverser et de retarder les explications, mais je suis sûre qu’une fois que vous saurez, vous comprendrez bien mieux certaines choses. Bien, tout d’abord, j’aurais une question pour vous : croyez-vous à la magie ? La vraie celle qu’on n’explique pas, la mauvaise ? Personnellement, ça m’avait toujours semblé de belles histoires mais rien de plus jusqu’à ce jour… Et puis j’ai fini par être mise devant les faits, et j’admets, je crois ce que je vois.
    Nous étions dans un tunnel hyperspacial quand tout avait commencé à déconner. Il n’y avait pas eu le moindre signe avant coureur sur les senseurs, je peux vous le dire puisque j’étais juste devant. Des formes ont traversées les parois du tunnel, à moins qu’elles n’en fut sorties, comme si cela ne leur faisait rien. Elles avaient une étrange couleur légèrement bleutée, électrique peut-être, comme un ectoplasmes en fait. Au début il fut compliqué de les identifier, pour ma part, elles ne ressemblaient à rien de connu. Puis elles se sont approchées et on a pu en distinguer les contours indéniablement humains qu’elles abordaient. Notre historien à doucement commencé à péter un câble à cet instant et à hurler quelque chose dont je me souviendrais toujours : Fantômes. À mesure qu’elles approchaient la panique a complètement gagné l’équipage qui s’est rapidement armé malgré les doutes sur l’efficacité des armes émis par l’historien. Puis ce fut la panique complète alors que parmi les visages fantomatiques certains reconnaissaient des proches. Je ne vous dit pas quelle fut ma frayeur en reconnaissant un ami d’enfance puis un vieux pirate dont j’adorais les histoires. La suite est encore plus confuse, entre les choses qui semblaient bouger avec la seule volonté de ses créatures, les tirs de l’équipage qui fusaient sans réellement viser. J’ai fui mon poste pour aller me réfugier dans un coin de la soute, c’était lâche mais au moins je suis encore en vie à ce jour. Je ne sais pas pourquoi ils ne m’ont pas trouvés où si ils s’en fichaient simplement… Quand, encore choquée, je finis par sortir de ma cachette assourdie pas le silence lourd qui n’augurait rien de bon. J’aurais été incapable de dire combien de temps avait passé. Je me mis en marche à travers le vaisseau espérant trouver quelqu’un, ma voix résonnait durement contre les parois et mon propre souffle me semblait oppressant. Pas de réponses au moindre appel et puis j’ai compris, une première fois en ouvrant le quartier d’équipage et puis une seconde au poste de pilotage. Il n’y avait personne debout, même personne d’entier. J’ai rendu la bile contenue dans mon estomac avant de fuir les yeux troubles. Je ne doute pas de l’image de moi même que je peux renvoyer en disant cela mais comment auriez-vous réagit vous en voyant vos compagnons, avec qui vous voyagiez depuis plus de trois ans pour certain morts, le sang étalé en une mare grossissante… Je me suis enfermée dans un coin où je ne pouvais rien voir de ses scènes d’horreur et suis restée prostrée un long moment.

    J’ai fini par remettre mon corps en action après un long moment, la faim, la soif et la douleur dans mes bras me rappelant à l’ordre. Je ne pouvais simplement pas rester là ainsi. Je fit la seule chose qui me semblait à ma mesure et qui n’avait, malheureusement, pas grand chose de glorieux. Fermant les yeux et priant fort, je partis vers les senseurs et lançait un SOS. À moi seule il n’y avait rien d’autre que je puisse faire et je ne souhaitais pas non plus essayer car cela signifiait rester dans cette pièce avec la crainte de voir des formes bleuâtre sortir du corps de mes amis.

    Un vaisseau de l’OCG a fini par me trouver, je ne donnais pas la meilleure image de moi même avec ma tenue salie, le sang remontant sur mes bottes et mon air encore effrayé… Je suis incapable de savoir ce qui c’est passé ensuite, j’ai du être transférée sur leur navire pendant qu’ils inspectaient le notre, j’aurais donné beaucoup pour un remontant des plus fort… Ils m’ont posé nombres de questions mais ne semblaient pas apprécier les réponses que je leur donnais, moi qui pour une fois leur disais la vérité. Je crois qu’ils ont remorqué notre bâtiments mais je ne saurais vous l’affirmer puis m’ont transportée à mon tour vers le relais de l’OCG le plus proche.

    Je me suis retrouvée donc un peu par hasard dans le vaisseau qui nous amenait à la prison. Oui totalement par hasard même, le fait que je soit visiblement pirate et que nos soutes contiennent  des marchandises pas très autorisées ici et visiblement, hum, empruntées à un vaisseau passé par là quelques jours auparavant et qui avait visiblement donné la description du bâtiment n’avaient rien à voir avec ce fait. C’est malheureux à dire mais au moins je n’étais plus hantée par les souvenirs de manière aussi oppressante que dans notre basic. Et l’idée de fuir la prison mobilisait suffisamment mon esprit pour ne pas avoir à m’en inquiéter, j’avais  mieux à faire.

    Pour certains d’entre vous c’est là-bas que vous m’avez rencontrée, j’estime donc ne pas avoir réellement besoin de vous conter la suite vous en savez autant que moi. Pour les autres si vous n’avez pas entendu nos précédentes aventures c’est que vous n’avez pas été assez attentifs.

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Jason

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #23 le: 18 janvier 2014 à 12:23 »
Il serai aussi pas mal de faire un petit récapitulatif des membres d'équipage au grands complets. Parce que moi j'ai pas toutes les motivations et défaults des PNJ.
Et puis je pense que cela va être tout aussi pratique pour vous.

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Re : Quartiers de l'équipage
« Réponse #24 le: 23 janvier 2014 à 17:10 »
Je met ici l'histoire et la description de Renzo par ma sœur. J'y ai a peine touché, juste corrigé les problèmes de cohérence.

  Renzo est un jeune homme de 23 ans, aux cheveux courts et noirs et aux yeux sombres. Son visage est pâle et sa bouche sourit parfois mais n'a pas la force de rire, une légère barbe contourne son visage dont deux lignes rejoignant les coins de sa bouche. Il est très mince et de taille moyenne, il n'est pas taillé pour le combat et y participe rarement.
Il est toujours vêtu d'une chemise blanche avec le reste de sa tenue en noir : une veste, un pantalon, des gants et des chaussures. il porte a sa main droite la chevalière rouge familiale.
Ce jeune pirate et grand séducteur est un médecin originaire d'Havana. Il porte toujours une sacoche contenant du matériel de premier soins en cas de besoin, ainsi qu'un bocal bien aménagé dans lequel se trouve son compagnon d'enfance, son scarabée apprivoisé : Scoronconcolo. Grâce a cet ami petit et peu bavard, il éprouve une certaine sympathie pour les insectes.

  Renzo est né de parents pirates qui, n'ayant pas l'intention d'arrêter leurs actes de piraterie pour élever un enfants, décidèrent de le laisser a son oncle. Il devint rapidement proche de son cousin, âgé de 5 ans de plus que lui. Vers 6 ou 7 ans, la mauvaise influence de son cousin était déjà en action, il lui montrais comment apprécier l'alcool et arnaquer les plus âgés en baratinant. Son frère d'alcool s'engageât dans la piraterie l'année de ses 14 ans, laissant le jeune Renzo seul avec son oncle. Au début, se sentant seul, le jeune garçon apprivoisa un scarabée qu'il baptisa Scoronconcolo auquel il tient encore beaucoup. Et pendant un an, son ami miniature sur l'épaule, il appris a établir des liens avec son entourage et se faire apprécier des personnes inconnus. Malgré son jeune âge, il compris l'importance du langage et comment séduire par les mots les plus simples.
A 11 ans, Renzo quitta ses habitudes pour devenir apprenti sur un bateau pirate avec un équipage entièrement constitué de médecins. A 16 ans, il fut assez compétant pour exercer la médecine de lui même, il quitta l'équipage et travailla pour son compte pendant un certain temps dans le secteur de l'empire de sol. Il allais directement chez des personnes ayant besoin de soins sans qu'ils n'aient rien demandé, les soignait, et leur extorquait de l'argent ou de quoi manger. Pour que ses patients ne s'en prenne pas a lui pendant qu'il prenait ce dont il avait besoin, il se servait de sa capacité de compréhension, d'analyse et de parole pour attaquer ses clients psychologiquement. Il pratiqua ce "métier" jusqu'à ses 23 ans lorsqu'il se rendit compte qu'une prime avait été mise sur sa tête. Il se cacha quelques temps en attendant de trouver un équipage pirate a intégrer ayant besoin d'un médecin de bord.
Agrogro chuis une tondeuse a gazon miam miam miam. Je vais te manger miam miam chuis une tondeuse a gazon.