Auteur Sujet: La cloche des marais  (Lu 1120 fois)

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Kil

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La cloche des marais
« le: 16 décembre 2012 à 02:53 »
Vous pouvez conter vos exploits et vos découvertes ici.

Moutchi

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La cloche des marais
« Réponse #1 le: 19 décembre 2012 à 21:10 »
[align=center]Carnet de voyage, première page[/align]

     Notre voyage débute en l'an 2946 du troisième age.

     C'est en prévision d'un grand rassemblement à  Esgaroth, conviant tous les peuples libres des terres sauvages, que notre compagnie s'est formée.
La hobbite Amarante a quitté la Comté, la besace pleine d'histoires et de chansons, Alkira et Khral, les fiers beornides descendirent de leur montagne, accompagnés de Rosana et Dana, les femmes des bois. C'est arrivée sur place qu'ils rencontrèrent Eydis et Torar, respectivement bardide et nain, venus de Dale et d'Erebor.
     Il se murmurait en ville que Gloïn, l'un des fameux 13 nains, recherchait l'aide d'aventuriers sans peur et sans reproches pour partir à  la recherche de deux de ses parents, Balïn et Oïn. Les deux nains avaient été envoyés auprès des Aigles, afin de leur apporter leur invitation pour les réjouissances à  Esgaroth. La nouvelle lui était parvenue par Raff, fils de Rabïn, le corbeau des montagnes. Il nous reste encore plusieurs mois avant d'assister au festivités et les retrouver nous rapportera une belle récompense...
     Après un court entretient, nous obtenons un laissez-passer ainsi qu'un bon pour la location d'une embarcation. En effet, la trace des deux nain a disparu dans les marais au sud d'Esgaroth, et suivre la rivière courante nous fera gagner quelques jours de marche.
     Nous avons donc prit un bateau et avons ramé, jusqu'aux Escaliers de Girion, où nous fument accueillis par d'aimables jeunes gens, chargés de faire fonctionner les immenses mécanismes nains qui permettaient de faire passer les bateaux d'un côté à  l'autre de la cascade. Nous avons partagé un repas avec eux et Amarante et Eydis nous ont bercé de leurs chants. Suite à  cela, nous avons pu rencontrer le doyen du camp, un vieil homme du nom de Nerulf.
En entendant la raison de notre déplacement, il commença à  psalmodier la même phrase :

[align=center]"Si vous allez dans le sud, dans les marais, faites preuve de prudence. Allez d'un pas léger et craignez les herbes folles de la potence."[/align]

     Le lendemain nous étions de nouveau sur le fleuve. Cela faisait maintenant trois jours que nous avions quitté Esgaroth. Rosana repéra dans les arbres, sur les rives, un groupe d'elfes des bois, nous épiant... Torar ne s'embêta pas de formalités et les salua vivement. La rencontre ne se passa pas si bien que prévu. L'elfe du nom de Galion s'offusqua quand il su qui nous cherchions et nous quitta sans autre forme de procès, jurant à  l'encontre des nains et des hobbits.
     Plus nous avancions sur l'Anduin, plus notre progression était laborieuse. Bientôt, la vase et les talus nous encerclaient de tout coté et il fallut commencer les recherches. Nous trouvâmes une barque immergée, couverte de griffures. Sans doute l'embarcation de Balïn et Oïn ! D'autres traces nous conduisirent au travers des arbres, dans un campement, apparemment dressé trois jours plus tôt. Torar fit la découverte d'un superbe coffret en ivoire gravé de figures d'aigles majestueux et incrusté de joyaux. A l'intérieur, un parchemin tressé de fil d'or, serti d'une gemme blanche de la taille d'un poing d'enfant, reflétant les rayons du soleil dans des lueurs mouvantes. Les yeux du nains brillèrent à  cette vue. Il s'agissait de l'invitation pour le roi des aigles. Nous étions sur la bonne piste.
     Nous dressâmes un campement pour la nuit, Amarante et Rosana veillent sur notre sommeil. Bientôt, un bruit de remous attira leur attention. Une petite mare sombre laissait échapper quelques bulles, dans un clapot sinistre. Torar lança un rondin dans cette direction qui fut aussitôt attrapé par des mains avides.

[align=center]Un troll de pierre ! Aux armes ![/align]

Le combat fut bref. Après plusieurs coups échangés, un vilain coup de bigot et une flèche chanceuse, le troll s'écroula, mort. Nous constatâmes alors qu'il avait déjà  reçu des blessures. Sans doute un cadeau laissé par Oïn et Balïn...

Ce n'était pas la fin de nos aventures dans les Terres Sauvages, mais ceci est une autre histoire...



ps : n’hésitez surtout ps à  commenter, compléter et corriger :)
« Modifié: 20 décembre 2012 à 12:22 par Moutchi »

Erwan

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La cloche des marais
« Réponse #2 le: 20 décembre 2012 à 09:30 »
Il me semble que ce n'était pas une pierre mais un rondin, tronc ou autre gros morceau de bois que le nain fit glisser sur l'eau de la marre. Le morceau de bois en question fut totalement broyé par le troll lorsqu'il sortit de sa planque pour attaquer.

Moutchi

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La cloche des marais
« Réponse #3 le: 20 décembre 2012 à 12:22 »
Corrigé ;)