On arrête de pourrir mon sujet ou il y aura des représailles.
Alors, pour re situer l'action:
"Nous sommes désormais en Avril 2004 à Paris, récemment, de violents évènements on secoué la ville, et pendant des nombreuses semaines on pouvait voir dans les journaux des articles de ce genre.
Paris frappée par des émeutes anti-police
Par Antoine Lerougetel
2 novembre 2003
Deux garçons sont morts dans la nuit du 27 octobre alorsqu'ils essayaient d'échapper à la police dans unecité qui loge des travailleurs pauvres et immigrés.La mort des deux garçons, à Clichy-sous-Bois, dansla banlieue nord, a provoqué de violentes confrontationsentre principalement de jeunes immigrés et 400 à 500 CRS envoyés par le ministre de l'intérieur,Nicolas Sarkozy.
Des affrontements entre les jeunes et la police se sont poursuivispendant tout le week-end. Quelques 70 voitures et de nombreusespoubelles ont été brûlées. La policea tiré près de 150 flashballs (balles en caoutchoucet plastique) et un nombre indéterminé de bombeslacrymogènes et continue à maintenir une présenceimportante sur les lieux.
Sarkozy, président du parti gaulliste au pouvoir etqui espère devenir le candidat de son parti pour l'électionprésidentielle de 2007, a construit sa réputationsur une plateforme agressive du tout sécuritaire. Il aaussitot promis de renforcer l'arsenal d'armes « nonfatales » des policiers. Il annonça aussi que dix-septcompagnies de CRS et sept brigades mobiles seraient postéesen permanence dans les cités « difficiles »,et que des policiers en civil seraient envoyés pour identifier« les meneurs, les trafiquants et les caïds ».
Les événements de jeudi dernier à la citédu Chêne Pointu démontrent l'intense peur et hostilitéressenties à l'égard de la police et de l'Etat parles habitants des cités de banlieue en France. Ces citéssont habituellement reléguées à la périphériedes villes.
Il y a un grand contraste entre ces cités et les centrevilles souvent impeccablement entretenus ; elles sont dominéespar des barres HLM et manquent d'équipements, notammentpour les jeunes. Le taux de chomage dans ces citéstend à être plus de cinq fois plus important quele taux national qui s'élève à dix pour cent.Paris est entouré de cités qui sont pour la plupartadministrées par des mairies et des conseils générauxdu Parti socialiste et du Parti communiste.
Vers 17h30 jeudi dernier, Bouna, 15 ans, Zyed, 17 ans et Metin,21 ans escaladèrent le mur de plus de trois mètres,surmonté de fils barbelés, d'un transformateur EDF.Bouna et Zyed furent électrocutés et Metin est à l'hopital souffrant de graves brûlures.
Un jeune dit à la presse: « Ils revenaient d'unmatch de foot. Ils avaient décidé d'aller taperle ballon» Les versions diffèrent légèrementmais une chose est claire, c'est que la police est arrivéeet que les garçons ont essayé de leur échapper.
Le procureur de Bobigny dit à la presse que «C'est d'autant plus dramatique qu'il ne s'agissait pas de délinquantset qu'ils n'avaient rien fait de mal». C'est là uneréfutation de la déclaration initiale de Sarkozyet du Premier ministre Dominique de Villepin selon laquelle lesgarçons étaient impliqués dans un vol etdes actes de vandalisme.
L'avocat représentant les parents des victimes, Jean-PierreMignard, posa une question essentielle: «Pourquoi des jeunesgens qui n'ont rien à se reprocher se sont-ils sentis suffisammentmenacés pour pénétrer sur un site dangereux?»
Le journal Le Figaro du 29 octobre écrit : «Bonnombre [d'habitants de la commune], choqués par les événements,hier, s'emportaient contre le comportement des policiers à leur égard : 'Les képis nous harcèlent etjouent les cow-boys mais personne ne vient quand on a besoin d'eux.»
Les insultes, les arrestations arbitraires et la violence dela police envers les jeunes et les personnes qui semblent êtred'origine étrangère sont tellement courantes enFrance qu'il est rare que les médias y prêtent attention.L'éditorial du Monde du 31 octobre signala que «l'année 2004 a été marquée par uneaugmentation de 18,5 pour cent de violences policièresillégitimes alléguées ». Tous les policierssont armés et les bavures policières à l'armeà feu sont une caractéristique persistante de lavie en France.
Sarkozy a fait des déclarations provocatrices contreles jeunes des cités. Il a promis de nettoyer au Kà¤rcher« la racaille » et « la gangrène »des cités. Il a aussi fait la promesse de se rendre chaquesemaine dans un quartier « difficile ».
Le Premier ministre Villepin et le Président Chiracn'ont fait aucun commentaire sur les provocations de Sarkozy.Dans le gouvernement, seul le Ministre déléguéà la Promotion de l'égalité des chances,Azouz Begag s'est exprimé contre Sarkozy.Le 30 octobre,il déclara : «Il ne faut pas dire aux jeunes qu'ilssont des racailles, il ne faut pas leur dire qu'on va leur rentrerdedans et qu'on va leur envoyer la police ».
L'éditorial du Figaro du 31 octobre exprima unecertaine nervosité parmi les cercles de Droite: «Les récents propos de Nicolas Sarkozy sur la nécessité'd'éradiquer la gangrène' des banlieues, de 'nettoyerles cités au 'Kà¤rcher' sont maladroits dans la forme,mais sur le fond ? »Prenant exemple sur le premier flic de France, la police quipatrouille les cités de Clichy-sous-Bois apparaîtsur une vidéo prise à partir d'un téléphoneportable, en train de tirer de très près des ballesen caoutchouc et en plastique en criant : « Revenez, bandede bâtards ».
La réalité était pourtant bien pire encore, les vampires... engagé dans un Jyhad sans fin, venait de mettre la France à feu et à sang pour régler leurs querelles.
La Camarilla Parisienne venait de subir l'un des assauts les mieux organisé jamais vu de la part de leur ennemi de toujours: le Sabbat. Plus d'une année d'affrontement et plusieurs coups de théatre (dont la mort et la résurrection de François Villon ne fut pas l'un des moindre) furent nécessaire pour mettre fin au conflit.
Sortie vainqueur de l'affrontement, elle est néanmoins sérieusement ébranlée et lèche désormais ses plaies. La bataille a de plus rouvert de nombreuses plaies internes et la Camarilla doit désormais affronter sont pire ennemi... elle même.
Le clan Brujah semble plus révolté que jamais, souvent utilisé en première ligne ils furent les plus nombreux à tomber. Ils reprochent aux anciens de les avoir une fois de plus utilisé comme chair à canon et nombre d'entre eux quitte la Camarilla pour rejoindre les Anarchs.
Le clan Gangrel semble en proie à un problème de conscience. Leur récent départ de la Camarilla décidé par leur justicar avait conduit nombre d'entre eux à rejoindre le Sabbat, et ceux resté fidèle à la Camarilla ce sont retrouvé nez à nez avec leurs anciens frères au cour de la bataille.
Le Clan Tremere semble être dans une période de "réorganisation hiérarchique". La traitrise déclarée par leur prince de leur ancienne régente ne favorise pas les relations du clan déjà particulièrement mal engagées. Et ce, même si le prince déclare avoir pardonné le clan, précédemment tombé en disgrâce, pour "service rendu".
Le clan Ventru tente de ce remettre d'une blessure politique particulièrement douloureuse. Ayant tenté de profiter de la situation pour remettre en cause l'autorité de François Villon et de profiter de sa mort pour tenter de prendre le pouvoir. Sa Mystérieuse résurrection fut particulièrement malvenue.
Quand au Clan Toréador, alors qu'il semblait en très mauvaise posture, il est ressortie de l'affrontement plus fort et influent que jamais. François Villon est parvenu à utiliser cette situation imprévue (?) comme tremplin pour assoir encore plus son pouvoir sur son domaine. Désorienté et perdus, les caïnites ce tourne vers lui comme vers une lumière dans les ténèbres.
De nombreuses rumeurs cour également sur une coterie dont le role, bien que très flou, semble avoir été décisif. Tour à tour résistant héroïque, puis traitres, puis agent double, ils inquiète et suscite doute et jalousie. Sont ils des alliés de Villon? des pantins? des traitres qui ont retourné leur veste en même temps que le vent?
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